Qu’est-ce que l’hypervigilance ? Un symptôme essentiel du syndrome de stress post-traumatique

Psychologista
9 Fév, 2024

L’hypervigilance est une caractéristique clé de l’état de stress post-traumatique (ESPT), impliquant un état accru de sensibilité sensorielle et de vigilance face à des menaces potentielles.

Les personnes souffrant de SSPT présentent souvent une hypervigilance chronique accompagnée de souvenirs récurrents de traumatismes et de flashbacks après avoir été confrontées à un événement extrêmement pénible.

Les personnes souffrant d’hypervigilance se sentent perpétuellement sur le qui-vive, comme si le danger pouvait survenir à tout moment. Leur corps peut être constamment en état d’alerte, ce qui les rend nerveuses, irritables et incapables de se détendre. Cette forme grave d’anxiété peut entraîner un épuisement émotionnel et des difficultés de concentration.

En cas d’hypervigilance due au syndrome de stress post-traumatique, des environnements ou des situations qui n’étaient pas menaçants peuvent être perçus comme dangereux, ce qui déclenche des réactions de panique et de fuite ou de combat. Par exemple, les bruits forts, les espaces bondés ou les représentations médiatiques de la violence ou des traumatismes peuvent tous déclencher des réactions d’hypervigilance aiguë.

distressed woman

L’hypervigilance nous protège-t-elle ?

Lesstimulations sensorielles, telles que la transpiration des paumes, l’accélération du rythme cardiaque et le fait de regarder d’un côté à l’autre, sont activées pour assurer notre sécurité en cas de danger, afin de nous préparer à une réaction degel, de combat ou de fuite.

Parfois, il est activé en réponse à une menace perçue qui n’est pas présente ; c’est ce que l’on appelle cliniquement l’hypervigilance.

L’hypervigilance est un état psychologique souvent craintif et autoprotecteur qui consiste à évaluer constamment son environnement. Elle est essentielle pour vous aider à éviter le danger.

Une personne en état d’hypervigilance a une sensibilité sensorielle amplifiée à son environnement et son système nerveux est hyper excité pour détecter les menaces éventuelles.

Cette surstimulation du système nerveux entraîne un comportement d’autodéfense erratique et exagéré en réponse à un danger perçu qui est plus souvent qu’autrement absent.

Lorsqu’elle se prolonge, l’hypervigilance chronique se traduit par une réaction excessive et persistante à une menace qui n’existe peut-être pas.

L’hypervigilance a de nombreuses conséquences graves sur la qualité de vie. Elle peut entraîner un épuisement mental et des difficultés à dormir.

L’hypervigilance peut produire des schémas obsessionnels en raison de l’hyperconscience permanente de l’environnement. En outre, elle peut nuire au fonctionnement quotidien, par exemple au travail ou dans les interactions sociales.

Hypervigilance et paranoïa

L’hypervigilance et la paranoïa sont des signes de troubles mentaux tels que le trouble bipolaire, l’anxiété, la schizophrénie et le syndrome de stress post-traumatique (SSPT).

Ainsi, le signe le plus marquant du syndrome de stress post-traumatique est l’hypervigilance, tandis que le signe le plus marquant de la schizophrénie est la paranoïa.

La peur est l’émotion sous-jacente de l’hypervigilance et de la paranoïa. Cependant, la paranoïa diffère de l’hypervigilance parce qu’elle implique des pensées irrationnelles. Par exemple, une personne paranoïaque a des pensées intrusives et réelles qui se transforment en délires. Ces délires sont souvent liés à des idées suspectes concernant d’autres personnes.

D’autre part, l’hypervigilance est un état de détection active des menaces et implique un balayage fixe de l’environnement pour repérer les menaces.

Les personnes qui souffrent d’hypervigilance ont une conscience intense et disproportionnée de leur environnement.

La paranoïa est centrée sur le présent et implique des croyances fausses et spécifiques sur les personnes, tandis que l’hypervigilance est un état d’alerte centré sur l’avenir et impliquant des craintes d’un danger imminent.

Vue d’ensemble du SSPT

Les événements extrêmement stressants peuvent laisser des traces durables sur la santé mentale d’un individu. Le syndrome de stress post-traumatique (SSPT) est un état de santé mentale caractérisé par des perturbations psychologiques fréquentes dues à un événement traumatique majeur.

Un événement traumatique est une expérience stressante ou menaçante dont on est témoin ou que l’on subit. Après exposition à un traumatisme, le SSPT touche environ 5 à 10 % de la population et est plus fréquent chez les femmes que chez les hommes.

Le SSPT se caractérise par l’altération du fonctionnement optimal de la vie quotidienne. Parmi les signes du SSPT figurent les flashbacks récurrents, les crises de panique, la dépression, les cauchemars et l’hypervigilance constante.

Causes du SSPT

Le SSPT est causé par le fait d’avoir été témoin ou d’avoir vécu un événement choquant, perturbant ou effrayant. Il est couramment observé chez les vétérans d’après-guerre, les survivants d’abus physiques ou émotionnels, de blessures ou d’accidents graves, etc.

Le SSPT peut entraîner une hypervigilance chronique due à un sentiment constant d’incertitude résultant d’expériences traumatisantes. Cependant, la vigilance est importante et, dans certains cas, utile.

Par exemple, lorsqu’elles se promènent seules la nuit, les personnes souffrant d’hypervigilance chronique restent en surrégime même dans des conditions normales, réagissant ainsi de manière excessive à des déclencheurs qui ne constituent pas réellement une menace.

Ce phénomène est dû à de nombreux déclencheurs qui mettent l’organisme en mode « combat et fuite » pour se protéger de la reviviscence du traumatisme.

Déclencheurs courants

hypervigilance triggers 1

Un déclencheur est un signal qui ravive des souvenirs passés, ce qui peut entraîner des réactions psychologiques et physiologiques.

Dans le contexte du syndrome de stress post-traumatique, certains déclencheurs courants peuvent stimuler ou aggraver l’hypervigilance :

  • Les rappels de l’événement traumatique, tels que les images, les sons, les odeurs ou les sensations associées au traumatisme
  • Des environnements ou des situations similaires à l’endroit ou au contexte de l’événement traumatique
  • Des facteurs de stress émotionnels ou physiques, tels que l’anxiété, les crises de panique ou un niveau de stress élevé
  • Troubles du sommeil ou cauchemars liés à l’événement traumatique
  • Des émotions intenses, telles que la peur, la colère ou la tristesse
  • Des déclencheurs sociaux ou interpersonnels, tels que des conflits, des critiques ou des rejets
  • Consommation de substances ou sevrage de substances comme mécanisme d’adaptation
  • Déclencheurs sensoriels, tels que les bruits forts, les mouvements soudains ou les espaces bondés
  • Sentiment d’être piégé ou impuissant dans une situation qui ressemble à l’événement traumatique
  • Nouvelles, médias ou conversations sur des événements traumatiques similaires dans le présent ou le passé

Il est important de noter que les déclencheurs peuvent être très individuels et varier d’une personne à l’autre. Il est donc essentiel de travailler avec un professionnel de la santé mentale qualifié pour identifier et gérer les déclencheurs de l’hypervigilance dans le contexte du syndrome de stress post-traumatique (SSPT).

Signes

Divers signes peuvent aider à détecter les états d’hypervigilance. Ils se répartissent souvent en trois catégories distinctes.

Tout d’abord, les signes physiologiques sont les réactions physiques du corps, tandis que les signes émotionnels sont observés à travers les réactions de l’humeur et du tempérament.

Enfin, les signes comportementaux sont les actions provoquées par la maladie.

Il est important de noter que les signes des états d’hypervigilance, en particulier dans le cas du syndrome de stress post-traumatique, peuvent varier considérablement d’une personne à l’autre. Il est possible qu’une personne présente certains des signes énumérés dans cet article, mais pas tous.

Toutefois, il est essentiel de souligner qu’il ne suffit pas de ressentir un ou deux signes pour poser un auto-diagnostic. Un diagnostic correct ne peut être posé que par un professionnel de la santé mentale qualifié, après une évaluation complète.

Signes physiologiques

Le système nerveux sympathique est activé, provoquant la libération d’adrénaline et de noradrénaline dans la circulation sanguine afin de se préparer à combattre ou à fuir et à répondre au danger.

Cette réaction se manifeste par les signes suivants :

Signes émotionnels

L’hypervigilance est un état émotionnel éprouvant. Les effets émotionnels causent souvent des problèmes dans un mode de vie sain. Les signes les plus courants sont les suivants

  • Anxiété

  • Flashbacks

  • Agitation

  • Peur ou inquiétude constante

  • Anticipation du danger

  • Sautes d’humeur

  • Sautes d’humeur

  • Colère

Dans certains cas :

  • Retrait émotionnel

  • Détachement

  • Paranoïa

Signes comportementaux

Les signes comportementaux sont des mécanismes de défense qui peuvent relever soit de comportements d’évitement et de fuite, soit de comportements d’affrontement et d’agression.

Voici quelques exemples de signes courants dans chaque catégorie :

Comportements d’évitement et de fuite

Dans le cas de l’évitement, les individus ont tendance à se figer ou à fuir, à se retirer de la vie sociale et à s’isoler.

Cela peut interférer avec d’importants piliers du bien-être, en entraînant par exemple une détérioration des relations.

  • Réactions impulsives

  • Consommation et/ou abus de substances

  • Éviter les conversations difficiles et les confrontations

  • Repli sur soi dans les contextes sociaux ou les situations nouvelles

  • Ne pas écouter les autres

  • Rêveries ou souhaits

  • Isolement par rapport aux amis et à la famille

Comportements conflictuels et agressifs

Les personnes ayant des réactions agressives et conflictuelles ont tendance à se battre ou à attaquer pour se défendre.

Cela peut parfois conduire à des démêlés avec la justice.

  • Attitude défensive au cours des conversations

  • Réaction excessive à des stimuli banals

  • Colère fréquente et facile

  • Négation de toute responsabilité

  • Comportement contrôlant

  • Agressivité impulsive

  • Rejeter la responsabilité sur les autres

  • Prise de risque

Le problème de l’hypervigilance

Malheureusement, de nombreuses personnes souffrant d’hypervigilance se tournent vers les drogues pour résoudre ce problème de surstimulation et de stress chronique. Plus précisément, on estime que 46,4 % des patients souffrant de SSPT ont également des problèmes de toxicomanie (McCauley, 2012).

Outre les problèmes de toxicomanie, de nombreuses personnes font état de difficultés à s’endormir.

Des études montrent qu’en cas d’hypervigilance, il y a une activation constante, aléatoire et potentialisée de l’amygdale, une région du cerveau associée à la régulation des émotions et à la peur.

L’insula est une autre région cérébrale située dans le cortex cérébral qui est également responsable de la régulation des émotions et du traitement des sensations corporelles.

On a constaté qu’elle était active même pendant le sommeil chez les personnes souffrant d’hypervigilance. L’hypervigilance de l’amygdale et de l’insula est attribuée à des facteurs troublants tels que la difficulté à s’endormir, la sensation d’être éveillé pendant le sommeil et une perception accrue de la douleur.

Options de traitement

Heureusement, il existe de nombreuses approches thérapeutiques pour l’hypervigilance.

Pour mieux comprendre les signes, un médecin peut vous aider à déterminer s’ils sont liés à un autre problème de santé mentale.

Thérapie

La thérapie consiste à communiquer avec un psychothérapeute pour vous aider à comprendre et à surmonter vos difficultés mentales dans un esprit de collaboration. De nombreuses variantes de la thérapie peuvent être utilisées pour gérer l’hypervigilance.

Un médecin évaluera votre cas pour déterminer l’approche la plus efficace.

Parmi les approches thérapeutiques, citons la psychoéducation, la thérapie de traitement cognitif (TPC), la thérapie d’exposition, la désensibilisation et le retraitement par le mouvement oculaire (EMDR) et la psychoéducation.

Thérapie cognitivo-comportementale (TCC)

La TCC est un type de psychothérapie très répandu dans lequel les thérapeutes travaillent en collaboration avec les patients pour recadrer leurs pensées, leurs émotions et leurs comportements de manière constructive.

Cette forme de thérapie par la parole centrée sur le client s’est révélée très efficace dans le traitement de la dépression, de l’anxiété, des dépendances et de bien d’autres troubles mentaux.

Psychoéducation

La psychoéducation est une partie de la TCC dans laquelle le thérapeute offre au patient des connaissances sur son état, ses signes ou ses techniques.

Il a été démontré que le fait d’être conscient de sa maladie aide à la gérer.

Thérapie d’exposition

De nombreuses techniques qui fonctionnent pour le SSPT peuvent être appliquées pour traiter l’hypervigilance, comme la thérapie d’exposition, une autre forme de TCC.

La désensibilisation systématique est une forme de thérapie d’exposition dans laquelle l’individu est exposé aux stimuli déclencheurs et travaille avec un professionnel formé pour aborder les émotions qui surgissent d’une manière saine.

EMDR

Contrairement à de nombreuses formes de thérapie, la désensibilisation et le retraitement par le mouvement oculaire (EMDR) n’exigent pas du patient qu’il communique tous les aspects de son traumatisme.

Au contraire, la thérapie EDMR incorpore des mouvements oculaires spécifiques de gauche à droite pendant que les clients se concentrent sur les souvenirs traumatisants. On pense que cela déclenche la capacité naturelle du cerveau à traiter les traumatismes.

Médicaments

Les médicaments peuvent aider à réduire certains signes d’hypervigilance dans certains cas et sont prescrits au cas par cas.

L’anxiété qui accompagne l’hypervigilance peut être traitée par des médicaments contre l’anxiété (tels que les bêta-bloquants, les benzodiazépines et les antidépresseurs).

Les médicaments ne constituent pas nécessairement la première étape du traitement pour tout le monde. Il est important d’en discuter avec un professionnel qui pourra déterminer si ce traitement vous convient et vous indiquer les effets secondaires potentiels.

Les benzodiazépines

Les benzodiazépines sont des agonistes du GABA. Le GABA inhibe l’activité neuronale et agit comme un tranquillisant naturel du corps en augmentant la relaxation et en induisant la somnolence.

Les benzodiazépines sont souvent prescrites pour traiter l’anxiété et les troubles paniques. Elles peuvent donc aider à gérer le stress associé à l’hypervigilance.

Parmi les benzodiazépines couramment prescrites figurent l’alprazolam, le chlordiazépoxide, le diazépam et le lorazépam.

Antipsychotiques

Si l’hypervigilance est associée à une schizophrénie ou à un trouble bipolaire, des antipsychotiques peuvent être prescrits.

Les antipsychotiques agissent en bloquant l’action de la dopamine D2, ce qui contribue à réduire l’activité neuronale. On pense que cela contribue à réduire les signes psychotiques et l’hypervigilance.

Les antipsychotiques les plus courants sont la quétiapine, l’aripiprazole, l’olanzapine et la rispéridone.

Antidépresseurs

Les antidépresseurs sont souvent utilisés pour traiter la dépression. Cependant, ils peuvent également être utilisés pour traiter l’anxiété, la douleur et les dépendances.

Les antidépresseurs les plus couramment prescrits pour traiter l’anxiété sont les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS).

Les ISRS agissent en inhibant la recapture de la sérotonine, augmentant ainsi la disponibilité de la sérotonine.

Cela permet d’atténuer l’anxiété et les signes liés à l’anxiété tels que l’hypervigilance.

Les antidépresseurs fréquemment prescrits en cas d’anxiété sont le citalopram, l’escitalopram, la fluoxétine, la paroxétine et la sertraline.

Bêta-bloquants

Les bêta-bloquants sont couramment prescrits pour traiter les anomalies du rythme cardiaque et l’hypertension, mais ils peuvent également aider à lutter contre l’hypervigilance.

Ils agissent en inhibant la libération d’adrénaline, une hormone de stress. Ils permettent une diminution du rythme cardiaque, ce qui contribue à abaisser la tension artérielle et à réduire l’anxiété.

L’acébutolol, l’aténolol, le bétaxolol et le bisoprolol/hydrochlorothiazide sont des exemples de bêta-bloquants.

Compétences d’adaptation

Les capacités d’adaptation font partie intégrante du rétablissement d’un fonctionnement optimal lorsque l’on souffre d’hypervigilance et des problèmes de santé mentale qui y sont associés.

Donner la priorité aux soins personnels est le meilleur moyen de s’aider à traverser cette expérience émotionnellement épuisante et peut inclure des pratiques quotidiennes telles que :

La pleine conscience

Les exercices de pleine conscience peuvent aider à prendre conscience de l’état émotionnel au moment présent. Il s’agit d’être conscient des pensées et des émotions sans porter de jugement.

Une composante essentielle des exercices de pleine conscience consiste à prendre conscience de ses pensées négatives dès qu’elles apparaissent et, au lieu de les suivre ou de les ruminer, de les observer et de les laisser aller.

La respiration

En cas d’hypervigilance, le système nerveux sympathique du corps est activé. Il est responsable de la réaction de lutte et de fuite et de la réponse à un danger potentiel.

La respiration profonde est un excellent outil dont il a été démontré qu’elle active le système nerveux parasympathique et stimule le nerf vague.

Le système nerveux parasympathique est actif pendant la relaxation et est souvent appelé la réaction de repos et de digestion. Il a une réaction physiologique opposée à celle du système nerveux sympathique.

L’exercice

Comme indiqué précédemment, l’un des problèmes de l’hypervigilance est qu’elle augmente la sensibilité à la douleur. Pour y remédier, l’exercice physique peut s’avérer très efficace pour atténuer la douleur.

Pendant l’exercice, le corps libère des substances chimiques connues sous le nom d’endorphines. Les endorphines se lient aux récepteurs opiacés et augmentent les sensations positives, comme la morphine. Plus important encore, elles contribuent à réduire la douleur et le stress.

Bien qu’il existe une série de techniques d’adaptation que vous pouvez utiliser chez vous, il peut être difficile de s’attaquer seul à la cause profonde de l’hypervigilance.

C’est pourquoi il peut être extrêmement bénéfique de faire appel à un expert, qui vous aidera à vous sentir en sécurité pendant votre rétablissement.

L’hypervigilance est une expérience émotionnellement épuisante qui a un impact sur de nombreux aspects de votre vie, qu’il s’agisse d’interactions sociales stressantes ou de difficultés à s’endormir.

Dans l’ensemble, la recherche d’un traitement peut vous aider à déterminer si elle est causée par un autre problème de santé mentale ou par des déclencheurs personnels.

La recherche d’un plan de traitement le mieux adapté à vos besoins, également connu sous le nom d’approche thérapeutique individualisée, est essentielle pour rétablir le bien-être mental et physique et, en fin de compte, pour mener une vie heureuse et saine.

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